Ebook Télécharger Windows on the World - Prix Interallié 2003, by Frédéric Beigbeder
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Windows on the World - Prix Interallié 2003, by Frédéric Beigbeder
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Détails sur le produit
Broché: 374 pages
Editeur : Grasset (20 août 2003)
Langue : Français
ISBN-10: 2246633818
ISBN-13: 978-2246633815
Dimensions du produit:
20,6 x 3 x 13,3 cm
Moyenne des commentaires client :
3.1 étoiles sur 5
35 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
339.506 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Je n'aimais dejà pas cet auteur mais j'ai fait un dernier essai....qui me confirme les premiéres impressions. Mr Beigbeder pourrait avoir une certaine compétence en écriture si il ne se complaisait pas dans la facilité et la paresse. Remplir des pages avec les noms des auteurs américains qu"il apprécie , puis plus loin de ses acteurs préférés ou recopier des poemes en anglais...donne l'impression qu'il est payé a la page écrite et qu'il ne sait pas quoi y mettre. Pourtant il y avait un sujet exploitable ( les derniéres heures d'un homme dans l'une des twins tower le 11 septembre) mais ...encore aurait il fallu travailler un peu. Frere de Ardisson, elevé dnas les beaux quartiers avec une cuillère en argent dans la bouche Mr Beigheber n'a sans doute jamais vraiment fait d'effort sur rien, si on exclu ceux nécessaires a draguer un mannequin dans une boite de nuit narrations qui remplissent un bon tiers du livre. C'est creux et l'auteur déprimé est déprimant.
la moitié du bouquin concerne les divagations de l'auteur dans sa tour. on s'en fout royal. une fois qu'on saute tous ces chapitres (1/2 en gros), ça va mieux et on peut enfin se concentrer sur l'intrigue.je ne lirai pas de cet auteur à nouveau c'est sûr
Un livre tout simplement parfait ! Mais je ne suis pas surpris ; bonne lecture à toutes et tous. 🗼
Bon c'est le premier livre de Beigbeder que je lis...et je ne suis pas convaincue...Le sujet est intéressant... mais je n'ai pas vraiment accroché... J'avais plus l'impression d'un "discours" sans réel engagement de sa part... Je n'ai jamais réussi à ressentir/entendre une émotion... Dommage...
Je m’étais risqué à comparer Beigbeder avec les Goncourt après avoir peiné sur la lecture du Journal des fameux frères, et sans avoir jamais lu un livre de Frédéric Beigbeder.C’est maintenant chose faite avec ce Windows of the World et cela me conforte dans ma comparaison iconoclaste. Windows of the World a en effet un style maîtrisé et du panache : il assume parfaitement son ambition d’un romain pseudo-documentaire, oscillant entre les introspections de l’auteur et une fiction sur les derniers moments de vie de personnes capturées dans le restaurant des Twin Towers. L’exercice était instable et périlleux, et le roman de Beigbeder ne manque pas lui-même de s’effondrer à la fin, même s’il faut lui reconnaître quelques mérites.Le principal écueil à mon sens est sa longueur. Non pas qu’on ait affaire à un pavé interminable. Mais le fait d’avoir voulu rythmer chaque chapitre par minute, finit par étioler le récit sur ses deux volets : l’agonie des protagonistes de la fiction devient interminable et insupportable, et les réflexions de l’auteur tournent en rond et finissent par verser dans le narcissisme stérile alors que l’auteur avait su élégamment l’esquiver au début. On avait trouvé en effet de belles fulgurances, telle la pique en direction de James Lipton quand il le compare à Bernard Pivot. Cela démontrait que Frédéric Beigbeder n’était pas que le cabotin sans consistance que renvoient ses frasques dans la presse people, ou que lui-même tente de nous convaincre en narrant ses anecdotes vaines à la fin de l’ouvrage.La fin vient justement contrarier le propos, comme si l’auteur voulait s’essayer sur tous les registres dans la perspective d’un prix littéraire. Il achève alors de brouiller les pistes, et on ne sait plus si on a affaire à un exercice brillant, ou un salmigondis de choses de moins en moins réussies (notamment l’humour raté ou déplacé). La liste des remerciements, abondants et aussi puérils que dans un fanzine littéraire fait avec des potes de lycée, finit de laisser pantois.On gardera malgré tout un bon souvenir de la lecture car l’auteur nous aura démontré qu’il est capable de livrer autre chose que de l’ostentatoire et du superficiel. Et on regrettera que cela n’ait pas été plus constant dans tout le récit.
Je n’avais jamais lu BEIGBEDER auparavant, j’ai décidé de me lancer avec ce roman, qui aborde le thème du 11 septembre de façon assez violente et crue. J’ai été touchée par l’histoire de ce père et de ses fils, impuissants devant ce malheur qui s’abat sur eux. Les descriptions de ce qu’ils ressentent, minute par minute, après que l’avion a frappé la tour, sont dures. On ne peut que se mettre à la place de ce Papa qui tente tout pour sauver ses enfants. J’ai en revanche été beaucoup moins intéressée par les parties où l’auteur parle de lui-même, ce qui n’a pour moi qu’un intérêt restreint. Mais apparemment, c’est sa marque de fabrique…Personnellement, je n’adhère pas. Un roman en demi-teinte donc.
Frédéric Beigbeder s'attaque à l'indicible: les dernières heures d'un père divorcé et de ses 2 fils que le hasard qui fait mal les choses mis au 107ème étage d'une Twin Tower en ce jour funeste du 11 septembre 2001.Il écrit depuis un bar de la Tour Montparnasse et le bouquin est construit par un incessant aller et retour entre ses états d'âme, ses réflexions éparses (sur la relation ambivalente entre les 2 pays plutôt bien vue, sur la difficulté d'être père, l'amour, les affres de la vie conjugale toussa ... dans un style bien plus tarte à la crème) et la description minute par minute des derniers moments des condamnés. Ca fonctionne à peu près correctement bien que sans génie: côté fiction, il ya de vraies belles pages, coté égo ses digressions narcissiques - même s'il les assume (bien trop pour que ce soit honnête) - lassent et alourdissent le récit. Heureusement, et c'est sa principale qualité, Beigbeder sait être drôle, ce qui sauve un ensemble inégal.
Je me suis ennuyé, j'ai sauté beaucoup de pages, Beigbeder se complaît dans une certaine paresse. La moitié du livre concerne les digressions sur l'ego de l'auteur, on a l'impression qu'il a surtout noirci du papier pour pouvoir vendre son livre, bon, ceci dit je peux me tromper.
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